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Les marchés d'actions attendus en repli après l'attaque contre une centrale nucléaire en Ukraine. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 3.741,78 points (-2,06%), le CAC 40 à 6.378,37 points (-1,84%), le DAX 40 à 13.698,40 points (-2,16%), le FTSE 100 à 7.238,85 points (-2,57%), le SMI à 11.675,70 points (-1,65%), l’AEX à 705,42 points (-2,16%), le BEL 20 à 3.874,66 points (-2,11%), l’IBEX 35 à 8.011,40 points (-3,72%), le DJIA à 33.794,66 points (-0,29%), le Nasdaq à 13.537,94 points (-1,56%), le S&P 500 à 4.363,49 points (-0,53%) et le Nikkei 225 à 25.985,47 points (-2,23%).
En ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York indique que l’EUR/USD s’affiche à 1,1025 (-0,37%), l’EUR/JPY à 127,31 (-0,37%) et l’USD/JPY à 115,48 (+0,01%).
Les économistes interrogés par le Wall Street Journal s'attendent à une hausse de 0,5% de la production industrielle par rapport au mois précédent, après un recul de 0,2% en décembre.
Les marchés d'actions européens devraient de nouveau ouvrir en baisse vendredi, alors que le ministre ukrainien des Affaires étrangères a affirmé sur Twitter que les troupes russes bombardaient la plus grande centrale nucléaire d'Europe à Enerhodar, dans la région de Zaporijjia. A 7h40, le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 126 points, soit 2%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat sur le DAX 40 reculait de 263 points, soit 1,9%, et celui sur le FTSE 100 cédait 69,5 points, soit 1%.
Les investisseurs surveilleront vendredi la publication du rapport sur l'emploi non agricole aux Etats-Unis. La Bourse de New York a clôturé en baisse jeudi, affectée par la récente flambée des cours des matières premières qui risque d'alimenter les tensions inflationnistes et de favoriser une politique monétaire plus restrictive. Au second jour de ses auditions au Congrès, le président de la Réserve fédérale (Fed), Jerome Powell, a prévenu que la guerre en Ukraine risquait de renforcer l'inflation à court terme. "Nous allons assister à des pressions à la hausse sur l'inflation, au moins temporairement" en raison de l'augmentation des prix des matières premières et plus particulièrement de l'énergie, a-t-il déclaré.
En Asie, les marchés d'actions évoluent en baisse vendredi. L'indice Nikkei a clôturé en recul de 2,2% à Tokyo. En fin de séance, l'indice Hang Seng de la Bourse de Hong Kong abandonnait 2,5% et le Shanghai Composite perdait 0,9%.
Le rendement de l'obligation à 10 ans du Trésor américain recule vendredi matin, à 1,795% contre 1,845% jeudi soir. L'aversion au risque des investisseurs s'est amplifiée après l'annonce de frappes russes contre une centrale nucléaire en Ukraine, ce qui favorise les actifs jugés sûrs comme les obligations d'Etat. Jeudi, les taux des obligations américaines s'étaient stabilisés tandis que les investisseurs analysaient les déclarations du président de la Réserve fédérale, Jerome Powell, devant la commission bancaire du Sénat américain.
L'euro s'inscrit en net repli vendredi matin face au dollar et au yen, tandis que le billet vert est stable par rapport à la devise japonaise, alors que les cambistes privilégient les devises refuges après l'attaque russe contre une centrale nucléaire en Ukraine. Les cours du pétrole devraient être le principal facteur influant sur l'euro au cours des prochaines semaines, selon TD Securities. Le bond du prix du baril a fait reculer la monnaie unique en raison des craintes de perturbations de l'approvisionnement dues au conflit en Ukraine, ajoute TD Securities.
Les cours du pétrole montent vendredi matin, en raison des inquiétudes relatives à l'approvisionnement provoquées par l'intensification de la guerre entre la Russie et l'Ukraine. La hausse des cours du brut liée aux perturbations, réelles et envisagées, des exportations de pétrole russe devrait plus que compenser l'effet d'une éventuelle augmentation de l'offre de pétrole brut iranien, indique CBA. Certains espèrent que l'accord nucléaire de 2015 avec l'Iran sera bientôt rétabli, ce qui permettrait de relancer une production de pétrole de 1 million à 1,3 million de barils par jour en six mois, ajoute CBA. A 7h20, le contrat à terme de mai sur le Brent de mer du Nord gagnait 76 cents, soit 0,7%, à 111,22 dollars le baril, tandis que le contrat d'avril sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex prenait 1,03 dollar, soit 1%, à 108,70 dollars le baril.
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