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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreLes tensions entre Russie et Occident devraient faire fléchir les marchés d'actions européens. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 3.970,69 points (+3,69%), le CAC 40 à 6.752,43 points (+3,55%), le DAX 40 à 14.567,23 points (+3,67%), le FTSE 100 à 7.489,46 points (+3,91%), le SMI à 11.987,31 points (+3,01%), l’AEX à 727,85 points (+2,72%), le BEL 20 à 4.061,17 points (+4,18%), l’IBEX 35 à 8.486,60 points (+3,51%), le DJIA à 34.058,75 points (+2,51%), le Nasdaq à 13.694,62 points (+1,64%), le S&P 500 à 4.384,65 points (+2,24%) et le Nikkei 225 à 26.526,82 points (+0,19%).
En ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York indique que l’EUR/USD s’affiche 1,1153 (-1,06%), l’EUR/JPY à 128,85 (-1,05%), l’USD/JPY à 115,54 (+0,02%).
Les contrats à terme sur les indices européens et américains fléchissent lundi matin, alors que le président russe, Vladimir Poutine, a brandi la menace nucléaire après l'annonce de nouvelles sanctions de l'Occcident contre la Russie en réponse à l'invasion de l'Ukraine. Vers 7h20, le contrat à terme sur le CAC 40 reculait de 189,8 points, soit 2,8%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat sur le DAX 40 perdait 448,5 points, soit 3,1%, et celui sur le FTSE 100 abandonnait 106,8 points, soit 1,4%. Les marchés russes devraient connaître de fortes secousses à l'ouverture, après que les Etats-Unis et leurs alliés ont déclaré samedi vouloir exclure les principales banques russes du réseau interbancaire Swift, ce qui les isolerait du système bancaire international.
Les tensions entre la Russie et l'Occident se sont encore accrues dimanche après que Vladimir Poutine a brandi la menace de l'arme nucléaire en réaction à ce qu'il a qualifié de "déclarations belliqueuses" de l'Otan. Parallèlement, les forces ukrainiennes ont continué à opposer une ferme résistance à l'invasion russe, et l'Ukraine a accepté des pourparlers avec la Russie en Biélorussie, bien que les espoirs d'une résolution rapide du conflit semblent minces.
En Asie, les principaux marchés évoluent de façon contrastée lundi. L'indice Nikkei a clôturé en hausse de 0,2% à Tokyo. En fin de séance, l'indice Hang Seng de la Bourse de Hong Kong perdait 0,8%, tandis que le Shanghai Composite gagnait 0,2%. La Bourse de New York a clôturé en forte hausse vendredi, effaçant ses pertes du début de semaine après une vague d'achats à bon compte. Le marché a également profité de l'annonce d'une possible reprise des contacts diplomatiques entre la Russie et l'Ukraine, même si l'offensive russe se poursuivait sur le terrain.
Echappant à la correction qui le menaçait jeudi pour signer sa meilleure séance depuis plus d'un an, l'indice Dow Jones (DJIA) a terminé en hausse de 2,5%, à 34.058,75 points. L'indice élargi S&P 500 a gagné 2,2%, à 4.384,65 points. Après une ouverture dans le rouge, le Nasdaq Composite a finalement pris 1,6%, à 13.694,62 points. Sur l'ensemble de la semaine, le Dow Jones est resté stable, le S&P 500 a gagné 0,8% et le Nasdaq a monté de 1,1%. Cette progression est intervenue après une détente des prix de l'énergie. Le baril de brut WTI a terminé vendredi en baisse de 1,3%, à 91,59 dollars, sur le Nymex, mais a gagné 1,5% sur l'ensemble de la semaine.
Le rendement de l'obligation du Trésor américain à 10 ans recule lundi matin à 1,904% contre 1,969% vendredi soir, les investisseurs se tournant vers les actifs jugés sûrs, face à l'escalade du conflit en Ukraine. Les marchés intègrent par ailleurs une probabilité de 100% que la Réserve fédérale (Fed) relève son taux directeur, qui se situe actuellement entre 0% et 0,25%, lors de sa prochaine réunion en mars.
L'euro s'inscrit en forte baisse lundi matin face au dollar et au yen, tandis que le billet vert est stable par rapport à la devise japonaise, les cambistes privilégiant les devises refuges. Les contrats à terme sur le rouble chutent de 19%, ce qui signifie que la devise russe pourrait se négocier à environ 109 roubles pour un dollar. La devise atteindrait un point bas historique si elle tombait à 90 roubles pour un dollar.
Certains signes trahissent cependant une réticence de la part des acteurs du marché à fixer un prix pour le rouble. Un stratégiste du marché des changes indique qu'il n'y a pas de véritable marché. Compte tenu des sanctions que veulent appliquer les Occidentaux à la banque centrale russe et aux établissements financiers du pays, le rouble risque de subir un vaste mouvement de vente lorsque les liquidités seront de retour sur le marché.
Les cours du pétrole bondissent lundi matin, les dernières sanctions prises par les pays occidentaux contre la Russie exacerbant les inquiétudes concernant l'offre d'or noir. Dans ce contexte, Goldman Sachs anticipe une hausse sensible des contrats pétroliers à très court terme. La banque d'affaires américaine a relevé de 95 à 115 dollars sa prévision concernant le prix du baril de Brent de mer du Nord. A 7h35, le contrat à terme de mai sur le Brent de mer du Nord gagnait 5,6%, à 99,38 dollars le baril, tandis que le contrat d'avril sur le brut léger doux WTI) coté au Nymex prenait 5,7%, à 96,73 dollars le baril.
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