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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreLes marchés actions européens devraient peu évoluer en attendant l'indice ZEW en Allemagne. Ainsi, l'Eurostoxx 50 s'établit à 4.097,65 points +0,20%, le CAC 40 à 6.543,56 points +0,43%, le DAX 30 à 15.677,15 points -0,10% et le FTSE 100 à 7.077,22 points +0,12%. Le SMI enregistre 11.630,66 points +0,52% , AEX 718,61 points -0,22% , BEL 20 4.109,46 points +0,54% et IBEX 35, 9.163,60 points +0,83%. Quant à DJIA, il marque 34.630,24 points -0,36% , le Nasdaq, 13.881,72 points +0,49%, le S&P 500 , 4.226,52 points -0,08% et enfin Nikkei 225 chute à 28.970,76 points -0,17%.
Cours de change à 06h50
Variation par rapport à la clôture à New York
L'EUR/USD se monnaie à 1,2182 -0,07%, l'EUR/JPY à 133,27 +0,07% et USD/JPY s'échangent à 109,41 +0,13%
En France, les investisseurs suivront mardi les chiffres du commerce extérieur en avril. Du côté des entreprises, les sidérurgistes ArcelorMittal et Aperam réunissent leurs actionnaires en assemblée générale. Lundi soir, EDF a annoncé avoir renoncé à remettre en service sa centrale nucléaire Dungeness B dans le sud-est de l'Angleterre en raison de problèmes techniques persistants.
Airbus, lui, indique avoir livré 50 appareils et enregistré sept nouvelles commandes en mai. Ces livraisons portent à 220 le nombre d'appareils expédiés au cours des cinq premiers mois de l'année, période au cours de laquelle le groupe a enregistré 94 commandes brutes.
Dans une lettre aux actionnaires publiée en prévision de l'assemblée générale du 30 juin, Gianbeppi Fortis, le président du directoire de Solutions 30, indique que "l'une des premières décisions du conciliateur en date du 3 juin 2021 a été de mandater Didier Kling, le président de la Chambre nationale des conseils et experts financiers, pour accompagner la recherche d'un nouveau réviseur d'entreprises et faciliter la transition avec EY".
Sur le marché des actions, les principaux marchés européens devrait débuter la séance près de l'équilibre mardi, alors que les investisseurs attendent plusieurs statistiques économiques de premier plan, dont l'indicateur avancé ZEW en Allemagne.
A 7h30, le contrat à terme sur le CAC 40 gagnait 1,8 point, soit 0,03%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat sur le DAX 30 cédait 20 points, ou 0,1%, tandis que le contrat sur le FTSE 100 reculait de 3 points, ou 0,05%.
L'attentisme prévaut ce mardi tandis que les investisseurs évaluent les perspectives de l'économie mondiale, les difficultés des chaînes d'approvisionnement et les valorisations élevées des actions. Les anticipations d'inflation se sont atténuées ces derniers jours, mais les investisseurs restent attentifs aux déclarations des responsables de la Réserve fédérale (Fed) afin de déterminer si la banque centrale pourrait réduire ses mesures de soutien monétaire, qui ont alimenté la reprise des marchés d'actions. Ils attendent également la publication, jeudi, de l'indice des prix à la consommation aux Etats-Unis en mai.
Dans ce contexte, Wall Street a terminé en ordre dispersé lundi. L'indice Dow Jones (DJIA) a terminé en repli de 0,4%, à 34.629,19 points. L'indice élargi S&P 500 a perdu moins de 0,1%, à 4.226,46 points. Le Nasdaq Composite a pris 0,5%, à 13.881,72 points.
Les investisseurs surveilleront mardi les chiffres de la production industrielle en Allemagne en avril, avant l'indice ZEW du sentiment des analystes financiers et des investisseurs institutionnels dans ce pays. Selon les investisseurs interrogés par le Wall Street Journal, la production industrielle allemande devrait avoir progressé de 0,4% en avril, après une hausse de 2,5% en mars. L'indice ZEW pourrait de son côté atteindre 85 en juin, après 84,4 en mai. Le niveau de mai constituait un point haut depuis plus de 20 ans pour l'indice. Aux Etats-Unis, les chiffres de la balance commerciale en avril sont attendus à 14h30.
En Asie, les principaux indices boursiers reculent mardi, dans le sillage de Wall Street. A Tokyo, l'indice Nikkei cédait 0,2% en fin de séance, en dépit d'une révision à la hausse du produit intérieur brut (PIB) du Japon au premier trimestre.
Selon les données révisées publiées par le gouvernement, l'économie japonaise s'est contractée de 3,9% en termes annualisés au cours des trois premiers mois de 2021. La contraction du PIB japonais avait initialement été estimée à 5,1%.
Sur les marchés d'obligations, les rendements des obligations du Trésor américain reculent mardi matin. A 7h30, le rendement du bon du Trésor à dix ans, titre de référence du marché évoluait à 1,561%, contre 1,573% lundi soir.
Les émissions d'obligations d'entreprises libellées en euros devraient augmenter avant la décision de politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) jeudi, estime JPMorgan.
La moyenne des volumes sur le marché de la dette d'entreprise de catégorie investissement en euros s'établit autour de 45 milliards d'euros en juin. La fourchette de ces dernières années est toutefois large, allant de 20 milliards d'euros en 2015 à 76 milliards d'euros en 2020, soulignent les analystes de JPMorgan.
Sur le marché de changes, l'euro accuse un léger repli face au dollar mardi matin, tandis que les cambistes attendent les chiffres de l'inflation aux Etats-Unis qui seront publiés jeudi. A 7h30, la monnaie unique s'échangeait à 1,2181 dollar, en baisse de 0,1%.
Ces deux derniers mois, les chiffres de l'inflation ont dépassé les attentes outre-Atlantique, en raison de la hausse des prix des matières premières et des pénuries constatées sur certains marchés, indique IG. Comme les investisseurs restent préoccupés par le niveau de l'inflation et ses répercussions sur la politique monétaire, l'indice des prix à la consommation aux Etats-Unis constituera le principal événement de la semaine pour les marchés, ajoute IG.
Pour terminer, avec les matières premières, les contrats pétroliers reculent mardi matin, après l'annonce d'une baisse des importations de la Chine à leur niveau le plus faible des cinq derniers mois, indique Oanda. La faiblesse de la demande en Chine pourrait refléter un ralentissement des achats de pétrole des raffineries du pays afin de résoudre un problème de surcapacités, ajoute le courtier. Le marché reste par ailleurs concentré sur les discussions sur le nucléaire iranien, ajoute-t-il.
A 7h20, le contrat d'août sur le Brent de mer du Nord perdait 53 cents, à 70,98 dollars le baril, tandis que celui de juillet sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex cédait 46 cents, à 68,77 dollars le baril.
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