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Alors qu’il s’exprimait lors d’une session de formation destinée aux chefs de délégation aux réunions du GIABA, le Directeur général du Groupe intergouvernemental d’action contre le blanchiment d’argent en Afrique de l’Ouest (GIABA), Kimélabalou Aba, a insisté, mardi, sur l’importance des évaluations mutuelles dans la lutte contre le blanchiment d’argent.
Selon Kimélabalou Aba, le GIABA est responsable de la mise en œuvre des Normes du GAFI dans l’ensemble de ses 17 États membres (les 15 pays de la CEDEAO et deux pays non régionaux que sont l’Union des Comores et la République démocratique de Sao Tomé et Principe). En 2016, le GIABA a entamé le second cycle des évaluations mutuelles en utilisant les Normes révisées du GAFI. Le cycle d’évaluation pour les 17 pays membres du GIABA est de 05 à 06 ans. L’évaluation mutuelle nécessite une équipe polyvalente avec différentes compétences, expertises et expériences et devrait s’achever en 2022.
Malheureusement, souligne Kimélabalou Aba, à ce jour, le GIABA n’a été en mesure de conclure que 10 rapports d’évaluation mutuelle, tandis que deux autres devraient être discutés au cours de la Plénière de mai 2022. Ces défis résultent principalement de défaillances structurelles relatives à l’insuffisance du capital humain pour entreprendre des évaluations mutuelles ainsi que des questions connexes.
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