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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreLes actions devraient poursuivre leur baisse, plombées par la guerre en Ukraine et la hausse du pétrole. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 3.512,22 points (-1,23%), le CAC 40 à 5.982,27 points (-1,31%), le DAX 40 à 12.834,65 points (-1,98%), le FTSE 100 à 6.959,48 points (-0,40%), le SMI à 11.204,67 points (-0,84%), l’AEX à 669,04 points (-0,40%), le BEL 20 à 3.682,48 points (-2,07%), l’IBEX 35 à 7.644,60 points (-0,99%), le DJIA à 32.817,38 points (-2,37%), le Nasdaq à 12.830,96 points (-3,62%), le S&P 500 à 4.201,09 points (-2,95%) et le Nikkei 225 à 24.790,95 points (-1,71%).
En ce qui concerne les cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York indique que l’EUR/USD s’ouvre à 1,0861 (+0,05%), l’EUR/JPY à 125,42 (+0,17%) et l’USD/JPY à 115,49 (+0,13%).
Les marchés d'actions européens devraient poursuivre leur baisse mardi, la flambée des prix des matières premières renforçant les craintes des investisseurs au sujet des conséquences économiques de la guerre en Ukraine. A 7h30, le contrat à terme sur le CAC 40 perdait 172 points, soit 2,9%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat sur le DAX 40 reculait de 347 points, soit 2,7%, et celui sur le FTSE 100 cédait 111 points, soit 1,6%.
Les négociateurs ukrainiens et russes ont clôturé lundi une troisième série de pourparlers sans grand progrès. L'armée ukrainienne a tenu bon sur plusieurs fronts tandis que la Russie a continué à bombarder des villes et des zones résidentielles. Moscou a accepté d'ouvrir mardi des couloirs humanitaires pour évacuer les civils des principales villes du pays. Depuis l'invasion de l'Ukraine par la Russie, la flambée des prix des matières premières, les sanctions financières adoptées contre Moscou et la possibilité d'un embargo sur l'énergie russe menacent de faire dérailler une économie mondiale encore affaiblie par la pandémie de Covid-19. Cette situation complique également la tâche des banques centrales qui s'étaient préparées à réduire progressivement leurs mesures de soutien.
De part et d'autre de l'Atlantique, l'inflation atteint des niveaux qui n'avaient pas été observés depuis des décennies et continue d'accélérer. Les Bourses mondiales chutent et le dollar s'envole face aux autres devises, les investisseurs se ruant vers la sécurité des actifs américains. Dans ce contexte, Wall Street a clôturé en forte baisse lundi. L'indice Dow Jones (DJIA) a perdu 2,4%, à 32.817,38 points. L'indice élargi S&P 500 a reculé de près de 3%, à 4.201,08 points. L'indice Nasdaq Composite, riche en valeurs technologiques, a chuté de 3,6%, à 12.830,96 points, un plus bas depuis plus de deux ans.
Les marchés asiatiques poursuivent également leur repli mardi. A Tokyo, l'indice Nikkei a fini la séance en baisse de 1,7%, à 24.790,95 points, clôturant sous la barre de 25.000 points pour la première fois depuis novembre 2020. En fin de séance, l'indice Hang Seng de la Bourse de Hong Kong abandonnait 0,9% et le Shanghai Composite perdait 1,5%. Outre le conflit en Ukraine, les investisseurs suivront mardi l'estimation définitive du produit intérieur brut (PIB) de la zone euro au quatrième trimestre, ainsi que les chiffres de la production industrielle de l'Allemagne en janvier et du déficit commercial des Etats-Unis pour le même mois.
Les rendements des obligations du Trésor américain poursuivent leur hausse mardi matin, lançant un avertissement aux marchés alors que la guerre en Ukraine s'intensifie. Certains économistes craignent que la conjugaison de ce conflit, d'une inflation élevée et d'une hausse des taux d'intérêt ne provoque une récession aux Etats-Unis, un scénario qui semble se refléter dans la diminution de l'écart de rendement entre les emprunts du Trésor à deux ans et dix ans.
L'euro affiche une légère hausse face au dollar mardi matin. Cependant, la monnaie unique pourrait creuser ses pertes récentes, pénalisée par la progression des cours du pétrole, estime BMO Capital Markets. La corrélation négative entre la paire euro/dollar et le pétrole se renforce, ajoute l'intermédiaire financier.
Les contrats à terme sur le pétrole sont repartis à la hausse mardi matin, les opérateurs continuant d'évaluer l'impact de possibles sanctions américaines contre le brut russe. L'Allemagne, très dépendante du gaz et du pétrole russe, a toutefois indiqué n'avoir aucun projet de limitation des importations d'énergie russe. Parallèlement, la production pétrolière en Libye est perturbée par des dégâts causés aux oléoducs, ce qui provoque des tensions supplémentaires sur les marchés pétroliers mondiaux, indique ANZ. Vers 7h20, le contrat de mai sur le Brent de mer du Nord gagnait 4,57 dollars, soit 3,7%, à 127,78 dollars le baril, tandis que le contrat d'avril sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex prenait 3,41 dollars, soit 2,9%, à 122,81 dollars le baril.
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