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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreLes marchés actions sont attendus en légère baisse avant plusieurs indicateurs importants. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.246,13 points avec une hausse de 1,05%, le CAC 40 à 6.743,50 points (+0,80%), le DAX 30 à 15.932,12 points (+0,96%), le FTSE 100 à 7.187,17 points (+0,68%), le SMI à 12.430,23 points (+0,63%), l’AEX à 798,55 points (+1,14%), le BEL 20 à 4.314,66 points (+0,25%), l’IBEX 35 à 8.882,30 points (+0,21%), le DJIA à 35.369,09 points (-0,21%), le Nasdaq à 15.363,52 points (+0,21%), le S&P 500 à 4.535,43 points (-0,03%) et le Nikkei 225 à 29.917,62 points avec une hausse de 0,87%.
En ce qui concerne le cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York indique que l’EUR/USD s’affiche à 1,1871 en baisse de 0,07%, l’EUR/JPY à 130,34 (+0,04%) et l’USD/JPY à 109,81 avec une hausse de 0,09%.
Les marchés d'actions européens devraient ouvrir en légère baisse mardi, tandis que les investisseurs attendent plusieurs indicateurs économiques importants en zone euro ainsi que les annonces de politique monétaire de la Banque centrale européenne (BCE) jeudi. A 7h35, le contrat à terme sur le CAC 40 cédait 5,3 points, soit 0,1%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat sur le DAX perdait 20 points, soit 0,1% également, et celui sur le FTSE 100 abandonnait 18 points, ou 0,3%. Mardi, les investisseurs seront attentifs aux chiffres de la production industrielle en Allemagne, à l'indice ZEW du sentiment économique outre-Rhin, ainsi qu'à la deuxième estimation du produit intérieur brut (PIB) de la zone euro au deuxième trimestre.
De son côté, la BCE devrait présenter jeudi sa feuille de route pour réduire les achats d'obligations réalisés dans le cadre du Programme d'achats d'urgence pandémique (PEPP), estiment les analystes. Cette semaine, les investisseurs surveilleront également les propos du président de la Réserve fédérale (Fed) de New York, John Williams, sur les perspectives économiques et la politique monétaire. En Asie, les marchés d'actions gagnent du terrain mardi. En fin de séance, l'indice Nikkei s'adjugeait 0,9% à Tokyo, soutenu par la forte progression des valeurs de l'électronique. Il s'agit de la septième séance consécutive de hausse pour l'indice japonais, qui est porté par l'espoir de nouvelles mesures de relance économique lorsque le parti au pouvoir aura choisi son nouveau dirigeant.
L'indice Hang Seng s'adjugeait 0,9% à Hong Kong, tandis que le Shanghai Composite prenait 1,1%. De manière inattendue, la croissance des exportations de la Chine a accéléré en août, malgré l'augmentation des cas de Covid-19 dans le pays qui a entraîné la fermeture partielle de certaines installations portuaires. Les exportations de la Chine ont progressé de 25,6% sur un an en août, après une hausse de 19,3% en juillet, a annoncé mardi l'Administration générale des douanes. Ce résultat dépasse l'augmentation de 17% attendue par les économistes interrogés par le Wall Street Journal.
Les entreprises continuent de faire appel aux marchés de la dette en euros pour lever des fonds et quelque 4,85 milliards d'euros de titres sont arrivés sur le marché lundi, indique Société Générale. Le groupe espagnol spécialisé dans les infrastructures et les services de télécommunications mobiles Cellnex Telecom et la société portugaise de services aux collectivités EDP ont levé respectivement 1,85 milliard et 1,25 milliard d'euros. Les 1,75 milliard d'euros restants sont constitués d'obligations émises par les banques Santander, Ceska Sporitelna et Mediobanca. Les émissions de lundi interviennent après une très bonne performance la semaine dernière, avec plus de 20 milliards d'euros de titres émis sur tous les marchés, souligne Société Générale.
L'euro s'apprécie légèrement mardi matin face au dollar, soutenu par l'espoir que la Réserve fédérale attende avant de réduire ses achats d'actifs après une série de statistiques faibles aux Etats-Unis. Ces données, ainsi que les propos du président de la Fed, Jerome Powell, lors du symposium de Jackson Hole plaident pour que la banque centrale américaine reste patiente et s'engage dans un rythme de normalisation progressif, indique Maybank. En reportant la réduction de ses achats d'actifs, la Fed pourrait avoir un impact négatif sur le dollar, à condition qu'il n'y ait pas de résurgence inattendue des cas de Covid-19, ajoute Maybank.
Les contrats pétroliers présentent un tableau contrasté mardi matin, tandis que les investisseurs s'inquiètent de la décision de l'Arabie saoudite de réduire ses prix de vente à destination de l'Asie en octobre. La compagnie pétrolière nationale Aramco a annoncé lundi une baisse plus marquée de l'ensemble de ses prix pour l'Asie, mais elle a maintenu l'essentiel de ses tarifs pour l'Europe et les Etats-Unis inchangés. L'évolution de la demande constitue un autre sujet de préoccupation pour les raffineries de la région face à la recrudescence des cas de Covid-19 qui risque de réduire les déplacements dans certains pays. A 7h25, le contrat de novembre sur le Brent de mer du Nord gagnait 28 cents, à 72,50 dollars le baril. Le contrat d'octobre sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex cédait 21 cents, à 69,08 dollars le baril.
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