Les actions devraient hésiter à l'ouverture, les regards se tournent vers le rapport sur l'emploi aux USA. Ce jeudi matin, l’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.144,90 points soit une évolution de 0,65%, le CAC 40 à 6.746,23 points (+0,33%), le DAX 30 à 15.692,13 points (+0,88%), le FTSE 100 à 7.123,86 points (+0,26%), le SMI à 12.178,74 points (+0,13%), l’AEX à 766,24 points (+0,81%), le BEL 20 à 4.266,96 points (+0,74%), l’IBEX 35 à 8.792,90 points (+0,23%), le DJIA à 34.792,67 points (-0,92%), le Nasdaq à 14.780,53 points (+0,13%), le S&P 500 à 4.402,66 points (-0,46%) et le Nikkei 225 à 27.696,91 points avec une hausse de 0,41%.

Du côté des cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York indique que l’EUR/USD s’affiche à 1,1835 en baisse de 0,03%, l’EUR/JPY à 129,79 (+0,14%) et l’USD/JPY à 109,67   avec une hausse de 0,17%.

Les marchés d'actions européens devraient peu évoluer jeudi à l'ouverture, les investisseurs se montrant nerveux avant la publication, vendredi, du rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis. A 7h35, le contrat à terme sur le CAC 40 cédait 2,3 points, soit 0,03%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat sur le DAX 30 avançait de 11 points, soit 0,07%, et celui sur le FTSE 100 reculait de 1 point, soit 0,01%. Après des données contrastées sur la reprise de l'économie américaine mercredi et préoccupée par la propagation du variant Delta du coronavirus, Wall Street a fini en ordre dispersé. Si les créations d'emplois dans le secteur privé en juillet aux Etats-Uni ont déçu les marchés, l'indice ISM des services, qui mesure l'activité dans des secteurs tels que la distribution, les transports et la restauration, a atteint un niveau record le mois dernier.

L'indice Dow Jones (DJIA) a ainsi perdu 0,9%, à 34.792,60 points. L'indice élargi S&P 500 a reculé de 0,5%, à 4.402,66 points. L'indice Nasdaq Composite, à dominante technologique, a en revanche gagné 0,1%, à 14.780,53 points. En Asie, les indices présentent un tableau contrasté mercredi, tandis que les inquiétudes entourant la hausse du nombre de contaminations par le variant Delta en Chine augmentent. En fin de séance à Tokyo, l'indice Nikkei gagnait 0,4%. Parallèlement, le Hang Seng, l'indice vedette de la Bourse de Hong Kong, perdait 0,1% et le Shanghai Composite grappillait 0,1%.

Le rendement de l'emprunt du Trésor américain à dix ans poursuit sa progression jeudi après avoir terminé la veille à 1,184%. A 7h35, il s'établissait à 1,195%. Les indicateurs économiques publiés mercredi aux Etats-Unis ont signalé une progression décevante de l'emploi dans le secteur privé en juillet, alors que le secteur des services a connu une croissance explosive le mois dernier, ce qui a entraîné une baisse puis une hausse du rendement souverains dans des échanges volatils.

L'euro évolue peu jeudi matin face au dollar. A 7h35, la monnaie unique s'échangeait à 1,1838 dollar. Selon Capital Economics, le dollar devrait s'apprécier de 4% d'ici à la fin de 2022, en raison de la reprise de l'économie américaine et de la diminution progressive des mesures de soutien de la Réserve fédérale, mais une appréciation plus marquée, jusqu'à 10%, est possible. Le billet vert pourrait s'apprécier davantage que prévu si la Fed resserre sa politique monétaire alors que les autres banques centrales l'assouplissent ou la maintiennent inchangée, indique Jonas Goltermann, économiste chez Capital Economics. Si les incertitudes économiques s'accentuent, le dollar, valeur refuge, s'en trouverait également renforcé, ajoute-t-il.

Les cours du pétrole progressent mercredi matin, après avoir baissé pendant la nuit à la suite de l'annonce d'une hausse inattendue des stocks de brut aux Etats-Unis la semaine dernière. Les réserves ont augmenté de 3,6 millions de barils la semaine dernière, selon les chiffres publiés mercredi par le département américain de l'Energie, alors qu'elles étaient attendues en repli. En outre, les inquiétudes concernant la demande, notamment en Asie, pourraient peser sur le pétrole à court terme. La Chine, qui est l'un des plus grands importateurs au monde, est confrontée à une augmentation des contaminations par le variant Delta du coronavirus, indique la banque CBA. Près de la moitié des 32 provinces chinoises sont confrontées à une flambée de l'épidémie de Covid-19 après l'apparition d'un foyer du variant Delta à Nanjing. A 7h25, le contrat d'octobre sur le Brent de mer du Nord gagnait 19 cents, à 70,57 dollars le baril. Le contrat de septembre sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex prenait 23 cents, à 68,38 dollars le baril.

OF Bulletin du matin

Les actions devraient hésiter à l'ouverture, les regards se tournent vers le rapport sur l'emploi aux USA. Ce jeudi matin, l’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.144,90 points soit une évolution de 0,65%, le CAC 40 à 6.746,23 points (+0,33%), le DAX 30 à 15.692,13 points (+0,88%), le FTSE 100 à 7.123,86 points (+0,26%), le SMI à 12.178,74 points (+0,13%), l’AEX à 766,24 points (+0,81%), le BEL 20 à 4.266,96 points (+0,74%), l’IBEX 35 à 8.792,90 points (+0,23%), le DJIA à 34.792,67 points (-0,92%), le Nasdaq à 14.780,53 points (+0,13%), le S&P 500 à 4.402,66 points (-0,46%) et le Nikkei 225 à 27.696,91 points avec une hausse de 0,41%.

Du côté des cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York indique que l’EUR/USD s’affiche à 1,1835 en baisse de 0,03%, l’EUR/JPY à 129,79 (+0,14%) et l’USD/JPY à 109,67   avec une hausse de 0,17%.

Les marchés d'actions européens devraient peu évoluer jeudi à l'ouverture, les investisseurs se montrant nerveux avant la publication, vendredi, du rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis. A 7h35, le contrat à terme sur le CAC 40 cédait 2,3 points, soit 0,03%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat sur le DAX 30 avançait de 11 points, soit 0,07%, et celui sur le FTSE 100 reculait de 1 point, soit 0,01%. Après des données contrastées sur la reprise de l'économie américaine mercredi et préoccupée par la propagation du variant Delta du coronavirus, Wall Street a fini en ordre dispersé. Si les créations d'emplois dans le secteur privé en juillet aux Etats-Uni ont déçu les marchés, l'indice ISM des services, qui mesure l'activité dans des secteurs tels que la distribution, les transports et la restauration, a atteint un niveau record le mois dernier.

L'indice Dow Jones (DJIA) a ainsi perdu 0,9%, à 34.792,60 points. L'indice élargi S&P 500 a reculé de 0,5%, à 4.402,66 points. L'indice Nasdaq Composite, à dominante technologique, a en revanche gagné 0,1%, à 14.780,53 points. En Asie, les indices présentent un tableau contrasté mercredi, tandis que les inquiétudes entourant la hausse du nombre de contaminations par le variant Delta en Chine augmentent. En fin de séance à Tokyo, l'indice Nikkei gagnait 0,4%. Parallèlement, le Hang Seng, l'indice vedette de la Bourse de Hong Kong, perdait 0,1% et le Shanghai Composite grappillait 0,1%.

Le rendement de l'emprunt du Trésor américain à dix ans poursuit sa progression jeudi après avoir terminé la veille à 1,184%. A 7h35, il s'établissait à 1,195%. Les indicateurs économiques publiés mercredi aux Etats-Unis ont signalé une progression décevante de l'emploi dans le secteur privé en juillet, alors que le secteur des services a connu une croissance explosive le mois dernier, ce qui a entraîné une baisse puis une hausse du rendement souverains dans des échanges volatils.

L'euro évolue peu jeudi matin face au dollar. A 7h35, la monnaie unique s'échangeait à 1,1838 dollar. Selon Capital Economics, le dollar devrait s'apprécier de 4% d'ici à la fin de 2022, en raison de la reprise de l'économie américaine et de la diminution progressive des mesures de soutien de la Réserve fédérale, mais une appréciation plus marquée, jusqu'à 10%, est possible. Le billet vert pourrait s'apprécier davantage que prévu si la Fed resserre sa politique monétaire alors que les autres banques centrales l'assouplissent ou la maintiennent inchangée, indique Jonas Goltermann, économiste chez Capital Economics. Si les incertitudes économiques s'accentuent, le dollar, valeur refuge, s'en trouverait également renforcé, ajoute-t-il.

Les cours du pétrole progressent mercredi matin, après avoir baissé pendant la nuit à la suite de l'annonce d'une hausse inattendue des stocks de brut aux Etats-Unis la semaine dernière. Les réserves ont augmenté de 3,6 millions de barils la semaine dernière, selon les chiffres publiés mercredi par le département américain de l'Energie, alors qu'elles étaient attendues en repli. En outre, les inquiétudes concernant la demande, notamment en Asie, pourraient peser sur le pétrole à court terme. La Chine, qui est l'un des plus grands importateurs au monde, est confrontée à une augmentation des contaminations par le variant Delta du coronavirus, indique la banque CBA. Près de la moitié des 32 provinces chinoises sont confrontées à une flambée de l'épidémie de Covid-19 après l'apparition d'un foyer du variant Delta à Nanjing. A 7h25, le contrat d'octobre sur le Brent de mer du Nord gagnait 19 cents, à 70,57 dollars le baril. Le contrat de septembre sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex prenait 23 cents, à 68,38 dollars le baril.

OF Bulletin du matin

Les actions devraient hésiter à l'ouverture, les regards se tournent vers le rapport sur l'emploi aux USA. Ce jeudi matin, l’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.144,90 points soit une évolution de 0,65%, le CAC 40 à 6.746,23 points (+0,33%), le DAX 30 à 15.692,13 points (+0,88%), le FTSE 100 à 7.123,86 points (+0,26%), le SMI à 12.178,74 points (+0,13%), l’AEX à 766,24 points (+0,81%), le BEL 20 à 4.266,96 points (+0,74%), l’IBEX 35 à 8.792,90 points (+0,23%), le DJIA à 34.792,67 points (-0,92%), le Nasdaq à 14.780,53 points (+0,13%), le S&P 500 à 4.402,66 points (-0,46%) et le Nikkei 225 à 27.696,91 points avec une hausse de 0,41%.

Du côté des cours de change, la variation par rapport à la clôture à New York indique que l’EUR/USD s’affiche à 1,1835 en baisse de 0,03%, l’EUR/JPY à 129,79 (+0,14%) et l’USD/JPY à 109,67   avec une hausse de 0,17%.

Les marchés d'actions européens devraient peu évoluer jeudi à l'ouverture, les investisseurs se montrant nerveux avant la publication, vendredi, du rapport mensuel sur l'emploi aux Etats-Unis. A 7h35, le contrat à terme sur le CAC 40 cédait 2,3 points, soit 0,03%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat sur le DAX 30 avançait de 11 points, soit 0,07%, et celui sur le FTSE 100 reculait de 1 point, soit 0,01%. Après des données contrastées sur la reprise de l'économie américaine mercredi et préoccupée par la propagation du variant Delta du coronavirus, Wall Street a fini en ordre dispersé. Si les créations d'emplois dans le secteur privé en juillet aux Etats-Uni ont déçu les marchés, l'indice ISM des services, qui mesure l'activité dans des secteurs tels que la distribution, les transports et la restauration, a atteint un niveau record le mois dernier.

L'indice Dow Jones (DJIA) a ainsi perdu 0,9%, à 34.792,60 points. L'indice élargi S&P 500 a reculé de 0,5%, à 4.402,66 points. L'indice Nasdaq Composite, à dominante technologique, a en revanche gagné 0,1%, à 14.780,53 points. En Asie, les indices présentent un tableau contrasté mercredi, tandis que les inquiétudes entourant la hausse du nombre de contaminations par le variant Delta en Chine augmentent. En fin de séance à Tokyo, l'indice Nikkei gagnait 0,4%. Parallèlement, le Hang Seng, l'indice vedette de la Bourse de Hong Kong, perdait 0,1% et le Shanghai Composite grappillait 0,1%.

Le rendement de l'emprunt du Trésor américain à dix ans poursuit sa progression jeudi après avoir terminé la veille à 1,184%. A 7h35, il s'établissait à 1,195%. Les indicateurs économiques publiés mercredi aux Etats-Unis ont signalé une progression décevante de l'emploi dans le secteur privé en juillet, alors que le secteur des services a connu une croissance explosive le mois dernier, ce qui a entraîné une baisse puis une hausse du rendement souverains dans des échanges volatils.

L'euro évolue peu jeudi matin face au dollar. A 7h35, la monnaie unique s'échangeait à 1,1838 dollar. Selon Capital Economics, le dollar devrait s'apprécier de 4% d'ici à la fin de 2022, en raison de la reprise de l'économie américaine et de la diminution progressive des mesures de soutien de la Réserve fédérale, mais une appréciation plus marquée, jusqu'à 10%, est possible. Le billet vert pourrait s'apprécier davantage que prévu si la Fed resserre sa politique monétaire alors que les autres banques centrales l'assouplissent ou la maintiennent inchangée, indique Jonas Goltermann, économiste chez Capital Economics. Si les incertitudes économiques s'accentuent, le dollar, valeur refuge, s'en trouverait également renforcé, ajoute-t-il.

Les cours du pétrole progressent mercredi matin, après avoir baissé pendant la nuit à la suite de l'annonce d'une hausse inattendue des stocks de brut aux Etats-Unis la semaine dernière. Les réserves ont augmenté de 3,6 millions de barils la semaine dernière, selon les chiffres publiés mercredi par le département américain de l'Energie, alors qu'elles étaient attendues en repli. En outre, les inquiétudes concernant la demande, notamment en Asie, pourraient peser sur le pétrole à court terme. La Chine, qui est l'un des plus grands importateurs au monde, est confrontée à une augmentation des contaminations par le variant Delta du coronavirus, indique la banque CBA. Près de la moitié des 32 provinces chinoises sont confrontées à une flambée de l'épidémie de Covid-19 après l'apparition d'un foyer du variant Delta à Nanjing. A 7h25, le contrat d'octobre sur le Brent de mer du Nord gagnait 19 cents, à 70,57 dollars le baril. Le contrat de septembre sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex prenait 23 cents, à 68,38 dollars le baril.