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Retrouvez toute l'information économique et financière sur notre application Orishas Direct à Télécharger sur Play StoreLes propos de Powell et Williams rassurent le marché des actions européennes qui devraient ouvrir en hausse. L’Eurostoxx 50 s’ouvre à 4.112,33 points (+0,71%), le CAC 40 à 6.602,54 points (+0,51%), le DAX 30 à 15.603,24 points (+1,00%), l’FTSE 100 à 7.062,29 points (+0,64%), le SMI à 11.995,63 points (+0,46%), l’AEX à 723,77 points (+0,58%), le BEL 20 à 4.154,77 points (+0,41%), l’IBEX 35 à 9.051,70 points (+0,23%), le DJIA à 33.876,97 points (+1,76%), le Nasdaq à 14.141,48 points (+0,79%), le S&P 500 à 4.224,79 points (+1,40%) et le Nikkei 225 à 28.865,14 points (+3,05%).
En ce qui concerne la variation du cours de change par rapport à la clôture à New York, l’EUR/USD régressait de 0,10% à 1,1908, l’EUR/JPY a abandonnait également 0,03%, soit 131,47 tandis que l’USD/JPY gagnait 0,09%, soit 110,43.
En France, Vivendi tient mardi une assemblée générale très attendue. Les actionnaires doivent notamment se prononcer sur le projet de scission d'UMG, dont la cotation à la Bourse d'Amsterdam est prévue au plus tard le 27 septembre prochain. Par ailleurs, le vote des actionnaires sur le plan de rachats d'actions du groupe, qui ne fait pas l'unanimité, est surveillé. Les deux principales agences de conseil en vote aux investisseurs (proxy advisors), Glass Lewis et ISS, ont récemment recommandé de voter contre ce programme.
Les marchés d'actions européens devraient poursuivre leur progression mardi, portés par les propos rassurants de Jerome Powell sur l'économie américaine. Vers 7h40, le contrat à terme sur le CAC 40 gagnait 25 points, soit 0,4%, selon les données du courtier IG Markets. Le contrat sur le DAX 30 progressait de 45 points, ou 0,3%, et celui sur le FTSE 100 avançait de 21 points, soit 0,3%. Le président de la Réserve fédérale (Fed), Jerome Powell, a déclaré lundi que les créations d'emplois devraient accélérer dans les prochains mois aux Etats-Unis et que les récentes poussées inflationnistes devraient s'apaiser à mesure que la reprise se poursuit. La Fed continuera d'apporter son soutien à l'économie "aussi longtemps que nécessaire", tant que la page de la crise ne sera pas entièrement tournée, a ajouté le dirigeant, alors que certains membres de la Fed ont évoqué une possible réduction des rachats obligataires mis en place depuis un peu plus d'un an.
Le président de la Fed de New York, John Williams, s'est également déclaré opposé lundi à un retrait du soutien monétaire de la banque centrale. John Williams a estimé que l'économie américaine ne s'était pas encore suffisamment redressée après la pandémie. Après ces propos, Wall Street a nettement rebondi lundi, entraînée par les valeurs industrielles après une semaine agitée en raison des craintes d'inflation et de durcissement de la politique monétaire. L'indice Dow Jones (DJIA) a clôturé en hausse de 1,8%, à 33.876,97 points, et l'indice élargi S&P 500 a pris 1,4%, à 4.224,79 points. Le Nasdaq Composite a avancé de 0,8%, à 14.141,48 points. La semaine dernière, l'indice Dow Jones avait connu sa plus forte baisse en pourcentage depuis la semaine close le 30 octobre.
Les rendements des emprunts à long terme du Trésor américain se stabilisent mardi matin, après une séance volatile à New York que certains stratégistes attribuent à des prises de positions vendeuses, des investisseurs se trouvant contraints de dénouer leurs paris sur une baisse des prix des obligations. A 7h40, le rendement du bon du Trésor à dix ans, la référence du marché, s'établissait à 1,492%, contre 1,499% lundi soir. Selon Oxford Economics, la forte influence de la Fed sur le marché obligataire ne devrait pas s'atténuer, même lorsqu'elle commencera à réduire ses achats d'actifs. Oxford Economics souligne qu'au premier trimestre, la Fed possédait 24,7% de l'encours du marché obligataire, une part en légère baisse par rapport aux 25,1% des trois derniers mois de 2020. "Cette proportion devrait rester proche de 25% bien après que la Fed aura commencé à réduire ses achats." Oxford Economics indique également que les investisseurs étrangers demeurent des acteurs plus importants sur le marché de la dette souveraine américaine que la Fed.
L'euro recule face au dollar mardi matin après les propos de Jerome Powell. Selon JPMorgan, le récent revirement restrictif de la Fed constitue un tournant haussier pour le dollar après un premier semestre indécis. "La Fed a supprimé la garantie d'une politique monétaire stable pendant plusieurs années, ce qui était déterminant pour la conviction pessimiste du marché à l'égard du dollar depuis le passage à un objectif d'inflation moyenne [...] Le changement de la fonction de réaction de la Fed est très clairement favorable au dollar face aux devises de réserve à faible rendement, dont la politique monétaire est fermement ancrée par une inflation historiquement faible", indique la banque. De son côté, Goldman Sachs pense que le dollar ne s'appréciera pas de manière durable. Dans un scénario où les marchés continuent d'intégrer un resserrement de la politique monétaire de la Fed, l'euro pourrait encore perdre 2% face au billet vert si les taux en zone euro demeurent parallèlement inchangés, calcule la banque.
Les contrats pétroliers évoluent peu mardi matin, après avoir atteint lundi leur plus haut niveau de clôture depuis 2018 grâce à l'affaiblissement du dollar et à un regain d'appétit pour le risque. La hausse du pétrole se poursuit, grâce à "une actualité positive de toute part", souligne Manish Raj, directeur financier de Velandera Energy. "La poursuite de la reprise économique après la pandémie et une croissance soutenue de la demande entraînent des tensions sur le marché physique", indique-t-il, en ajoutant que l'issue de l'élection présidentielle iranienne "indique qu'un accord nucléaire avec l'Iran, et donc une croissance de l'offre iranienne, restent hors de portée." A 7h30, le contrat d'août sur le Brent de mer du Nord gagnait 15 cents, à 75,05 dollars le baril, et celui de même échéance sur le brut léger doux (WTI) coté au Nymex était inchangé, à 73,12 dollars le baril.
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